Ca a fait récemment couler beaucoup d’encre : le salaire du PDG du Groupe Renault, Carlos Ghosn. En effet, si son salaire de PDG a été de 2,67 millions d’euros en 2013, et bien, en 2014 il est passé à 7,2 millions d’Euros. Une petite fortune ! C’est-à-dire que son salaire a fait un petit bon de 170%. Mais comment ça se fait ? Qu’a t il donc fait pour ?
Les succès s’enchainent
Il faut bien dire que tout marche à merveille en ce moment du côté de Renault et notamment du coté de son PDG, qui est aussi le PDG de Nissan. La marque qui est bien représentée dans le monde avec 8 460 000 millions de Renault dans le monde et la vente qui a progressé avec 2 710 000 de véhicules Renault vendus dans le monde en 2014, c’est la forme olympique comme on dit, pour 41 milliards d’Euros de recettes financières en automobile seulement. Les succès commerciaux fulgurants des 4×4 Duster et de la Sandero y sont certainement pour quelque chose.
Un réseau bien tissé
La santé remarquable des ventes de la marque Dacia aussi n’est pas passée inaperçue. Certains modèles de voiture de la marque Dacia connaissent en ce moment un élan de développement sans précédent. Renault a su renforcer davantage son statut de leader, dans tous les plans. Le renouvellement de son alliance stratégique avec le Groupe Total, son partenariat avec le groupe Daimler, entre autre, ne font que confirmer ceci. Sa relation avec l’état semble aussi être au beau fixe. Avec l’accord trouvé sur l’augmentation du capital de l’état qui est passé de 15,01 % à 19,74 %. En effet, l’état projette d’injecter un investissement supplémentaire jusqu’à hauteur de 1,2 milliard d’euros dans le capital du constructeur automobile Renault.
Des perceptives louables
L’annonce a été faite que l’Alliance Renault Nissan projetterait de devenir le troisième constructeur automobile mondial d’ici 2018. C’est un projet ambitieux certes, mais avec les regains en part de marché sur le marché Européen, notamment une croissance de 42% au Royaume-Uni, +30% en Espagne,+29 % en Italie, +5,5% en France ; General Motors doit se méfier. Autant de projet pour Renault, qui va aussi renforcer sa stratégie dans les marchés émergents pour accroître davantage sa part de marché ainsi que son volume de vente, notamment au Canada, au Brésil, en Russie,….
Sans tenir compte que le PDG actuel a sauvé Renault et Nissan au bord de la faillite, et a su les remettre sur la voie, avec une optique de croissance. Il nous appartient à tout un chacun de commenter s’il a fait du bon boulot ou non, et si son salaire de PDG astronomique est justifié ou pas. A titre informatif, le salaire du PDG de Volkswagen en 2014, est, accrochez-vous, de 15,9 millions d’euros.
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