LeJusteSalaire.Com

Selon un sondage mené Harris Interactive pour le site CareerBuilder.com, le recours aux sites de réseaux sociaux par les responsables du recrutement de grandes entreprises est en forte augmentation. Ainsi, 35% des sondés disent avoir renoncé à embaucher un candidat après avoir découvert les contenus qu’ils diffusent.

Attention, si vous êtes à la recherche d’un emploi, prenez garde à ce que vous publiez sur les pages personnelles de vos réseaux sociaux favoris !!

D’après les résultats d’un sondage mené aux Etats-Unis et publié par le site CareerBuilder.com, 45% des employeurs consultent les réseaux sociaux pour se faire une idée sur des candidats à l’embauche. L’étude s’est faite auprès de 2 600 responsables recrutement et DRH de grandes entreprises dans les secteurs IT et services. 29% d’entre elles ont déclaré utiliser Facebook, 26% LinkedIn et 21% MySpace.

Mais l’enseignement le plus significatif de ce sondage est l’influence qu’ont ces sites sur les professionnels qui les consultent. 35% des employeurs déclarent avoir découvert des contenus sur les pages des candidats qui les ont dissuadés de les embaucher.

suite de l’article…

La différence de salaires entre les Hommes et les Femmes n’est finalement pas un mythe.
En témoigne les statistiques que l’on peut réaliser à partir des données enregistrées sur le site www.LeJusteSalaire.com.

Ces 2 graphent témoignent :

• Comparaison des salaires Hommes < -> Femmes en fonction du nombre d’années d’expériences professionnelle

• Comparaison des salaires Hommes < -> Femmes en fonction de l’âge

Salaires hommes/ femmes : d’où vient la différence ?
Extrait de cet article

En 2006, l’écart des salaires entre hommes et femmes s’élevait à 27%(secteur concurrentiel, entreprises de dix personnes ou plus). Mais d’où vient ce différentiel?? Des caractéristiques des postes (temps de travail, niveau de qualification…) ou d’une discrimination de genre?? Une enquête récente de la Dares, qui se concentre sur les salariés du secteur concurrentiel dont le temps de travail est décompté en heures (les non-cadres essentiellement), permet d’en savoir un peu plus sur ce point.

Un blog intéressant qui traite également du même sujet

La plupart du temps, on aborde le sujet du recrutement coté Candidats, en essayant de faire le point sur les méthodes de préparation, dans l’objectif de mettre toutes les chances de son coté, pour le Jour J.

Mais pourquoi finalement ne pas prendre le problème à l’envers, et d’essayer de se mettre dans la peau du Recruteur… qui devra définir et lister au mieux sa série de questions, qu’il devra adapter en fonction de l’évolution de l’entretien d’embauche.

Dans ce cadre, on se rend rapidement compte que pour préparer au mieux son entretien d’embauche, il devient intéressant de prendre le temps d’aller visiter des sites liés à l’activité RH (ressources humaines). L’intérêt est en effet multiple :

• Comprendre comment ces derniers préparent ce rendez vous
• Mieux cerner leurs exigences et attentes
• Analyser et comprendre leur comportement au cours de l’entretien, pour savoir s’adapter en fonction de la situation.
• …

Car si pour nous, Recrutés, l’exercice est difficile, … il l’est également pour les Recruteurs, qui ont l’importante et délicate tache de savoir judicieusement sélectionner !! … et euh aussi se posent beaucoup de questions !

Vous n’êtes pas convaincu par cet article ?
Allez donc lire celui là, qui vous donnera une autre vision de l’entretien d’embauche.

En août 2008, les entreprises interrogées par la société de conseil Hewitt, tablaient encore sur une augmentation générale des salaires. Les prévisions des mêmes entreprises interrogées à nouveau en novembre 2008 se sont avérées nettement inférieures…

Un article intéressant sur les effets de la crise sur l’évolution des salaires.

Saviez vous qu’à cause de la crise,
nous avons perdu en 1 ans, tous les emplois que nous avions mis 10 ans à créer…. ?

Les salaires d’embauche des jeunes diplômés sont revus à la baisse, passant de 34-36 000 euros il y a un an à 32-33 000 euros aujourd’hui. C’est, en effet, une conséquence de la baisse de la demande et de la montée du taux de chômage. « On n’est pas encore descendu au niveau de 2003-2004, au plus fort de la dernière crise. Mais on en prend le chemin », estime Dominique Galet.

Pour les profils expérimentés, en revanche, la situation reste stable. Il n’y a pas de dévalorisation, mais les augmentations de salaire liées à des changements de poste – traditionnellement de 10 à 15 % – sont devenues moins évidentes.

Source

Info révélée par Libération :

chez Hertz, le loueur de voitures, on encourage les salariés à … »faire un don à l’entreprise » en reversant un pourcentage de salaire. La loi française interdit de baisser autoritairement le montant de la fiche de paie, du coup, on la conseille fortement aux cadres. 7,5% pour un directeur, 5% pour un manager.

Dernier détail : le courrier précise : « si pas de réponse de votre part, nous considérerons que vous avez accepté »… sachant qu’il n’y a pas de case à cocher si on n’est pas d’accord.

L’outil d’analyse des Salaires proposé sur le site www.lejustesalaire.com (http://www.lejustesalaire.com/analyser-grilles-salaires.php), va nous permettre de comparer nos salaires, mais aussi de pouvoir connaître le salaire lié à une activité qui nous est moins connue.

Par exemple, il est courant qu’un informaticien souhaite prendre du recul par rapport à la technique, en se rapprochant de la partie fonctionnelle par exemple. Le plus souvent, un informaticien travaillant à la MOE souhaitera donc rejoindre la MOA… pour participer à l’analyse des besoins, aux rédactions de spécification, aux recettes, etc…

Et bien c’est par exemple dans ce cadre précis, que l’outil d’analyse des salaires peut nous aider.

Cet outil va en effet nous permettre de prendre connaissance de salaires, en fonction de plusieurs paramètres :

• Le secteur d’activité,
• La fonction,
• Le nombre d’années d’expérience et l’âge,
• La région,
• Le diplôme,
• Les avantages sociaux,
• Cadre et Non Cadre

Cette rubrique va également être enrichissante pour les étudiants en fin d’études, qui sont à la recherche de leur premier emploi. Il n’est en effet pas évident de réussir à se situer et à évaluer son premier salaire. L’outil d’analyse sera donc fort pertinent, en sélectionnant comme paramètre « 1 an », pour le nombre d’année d’expérience.

Cet outil se trouve donc ici :  http://www.lejustesalaire.com/analyser-grilles-salaires.php

Selon une récente étude de l’Apec, le salaire à l’embauche est dans la majorité des cas conforme à ce qui avait été envisagé dans l’offre d’emploi. Mais la conjoncture, la fonction, l’expérience ou la situation professionnelle du candidat peuvent conduire l’entreprise à des ajustements.

Le salaire moyen à l’embauche des cadres recrutés via une offre d’emploi est de 36 K€ et le salaire médian est de 33K€. Plus du quart des rémunérations est composé d’un fixe et de commissions. Les fonctions commerciales sont les plus concernées par le système de commissions.
Le niveau d’expérience est de loin le critère le plus discriminant. Le salaire à l’embauche médian est de 29 K€ pour les jeunes diplômés de moins d’un an d’expérience. Il atteint 40 K€ pour les cadres de plus de dix ans d’expérience (ou le salaire moyen à l’embauche est de 30K€ pour les jeunes diplômés de moins de un an d’expérience. Il atteint 44K€ pour les cadres de plus de dix ans d’expérience).
75% des salaires à l’embauche sont compris dans la fourchette de salaires envisagée avec l’offre d’emploi, mais 10% sont inférieurs et 15% supérieurs.
La situation professionnelle de la personne recrutée influe aussi sur le salaire à l’embauche. Le fait d’être demandeur d’emploi augmente la probabilité que le salaire soit dans le bas de la fourchette.
Source : Apec

Votre salaire et plus généralement votre rémunération (salaire et accessoire, avantages en nature, remboursement de frais) constitue par nature, un élément du contrat de travail. Cet élément ne peut être modifié sans passer par un avenant au contrat de travail, qui doit être signé par les deux parties.
La modification de la partie fixe ou variable de votre rémunération, du taux horaire ou de la commission nécessite donc votre accord, même si elle vous est plus favorable.
Source : juritravail.com